Selonles derniers chiffres des ventes et cessions de fonds de commerce en 2015 de l'Observatoire du Bodacc, les repreneurs sont de plus en plus Focus activitĂ©. 05/04/2016. Cession de fonds de commerce : Recul du nombre de transactions de -9,1% en 2015. Le 31 mars dernier, le Bodacc publiait les chiffres des ventes et cessions de fonds de commerce en 2015. EnrĂšgle gĂ©nĂ©rale, les actifs Ă  rĂ©aliser dans le cadre des procĂ©dures de liquidation judiciaire sont vendus aux enchĂšres publiques par le ministĂšre d'un commissaire priseur ou d'un huissier de justice. Ils peuvent toutefois ĂȘtre vendus de grĂ© Ă  grĂ© par le liquidateur sur autorisation du Juge commissaire Ă  la procĂ©dure lorsqu'une Achatou vente de fonds de commerce sur ParuVendu.fr. DĂ©poser une annonce gratuite Aide Compte Recherche AccĂšs pro PrĂšs de chez vous Immobilier; Auto-Moto; Emploi; Mon dĂ©barras Animaux; Services; Vacances; Affaires pro. Locaux; Commerces; VĂ©hicules pro; MatĂ©riel; Terrain industriel; Edito Annonces Affaires de Pros Cession commerce Vente snack, sandwicherie Lescessions consenties Ă  l'occasion d'un plan de sauvegarde ou d'un plan de cession d'entreprise Ă  l'occasion d'une procĂ©dure de redressement ou de liquidation judiciaire ne peuvent pas ĂȘtre prĂ©emptĂ©es par la commune. Guide juridique Ă  tĂ©lĂ©charger. CĂ©der un fonds de Initiationde la procĂ©dure de liquidation. La procĂ©dure peut ĂȘtre entamĂ©e par vous-mĂȘme, en tant que dirigeant de l’entreprise, par un crĂ©ancier, par le comitĂ© d’entreprise ou encore par les dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel, et ce, lorsqu’il n’y a aucune procĂ©dure de conciliation en cours. Ainsi, lorsque vous, ou l’un des crĂ©anciers, initiez cette procĂ©dure, vous disposez de 45 Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd. Lors de la cession d’un fonds de commerce par un vendeur Ă  un acquĂ©reur, il est important de s’interroger sur le devenir des salariĂ©s attachĂ©s Ă  ce fonds. Doivent-ils ĂȘtre licenciĂ©s ? sont-ils repris ? Ont-ils des droits particuliers ? Les salariĂ©s Ă©tant tributaires des cessions voulues par leur employeur, le lĂ©gislateur a prĂ©vu des dispositions protectrices Ă  leur Ă©gard. Le transfert de plein droit des contrats de travail L’article du Code du Travail prĂ©voit que Lorsque survient une modification dans la situation juridique de l’employeur, notamment par succession, vente, fusion, transformation du fonds, mise en sociĂ©tĂ© de l’entreprise, tous les contrats de travail en cours au jour de la modification subsistent entre le nouvel employeur et le personnel de l’entreprise. » Les contrats de travail en cours sont donc automatiquement repris par l’acquĂ©reur du fonds de commerce, qui devient par consĂ©quent le nouvel employeur, Ă  l’exclusion des cessions opĂ©rĂ©es dans le cadre d’une procĂ©dure collective ou d’une succession. Ce texte est d’ordre public, ce qui signifie que les parties ne peuvent pas y dĂ©roger et que toute clause contraire serait rĂ©putĂ©e non-Ă©crite. PrĂ©cisons que tous les types de contrats sont concernĂ©s contrats Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e, contrat Ă  durĂ©e dĂ©terminĂ©e, Ă  temps complet ou Ă  temps partiel. Il en est de mĂȘme pour les contrats de professionnalisation et d’apprentissage, Ă  la seule diffĂ©rence que s’agissant des contrats d’apprentissage, la DIRECCTE doit avoir au prĂ©alable donnĂ© son agrĂ©ment. Le transfert des contrats de travail s’opĂšre sans changement quant aux conditions d’exĂ©cution, au salaire, aux primes, Ă  l’anciennetĂ©, etc. Il s’opĂšre Ă©galement sans formalisme particulier, et sans accord du salariĂ©. Ainsi, si Ă  la suite d’une cession, un salariĂ© refuse de poursuivre son travail, il sera considĂ©rĂ© comme dĂ©missionnaire, doc responsable de la rupture du contrat de travail, et de ses consĂ©quences lĂ©gales. De la mĂȘme façon, le repreneur ne peut licencier un salariĂ© au seul motif de la cession. Il devra, de façon classique, motiver le licenciement sur une cause rĂ©elle et sĂ©rieuse ou trouver un accord avec le salariĂ© dont il souhaite se sĂ©parer en vue de parvenir Ă  une rupture conventionnelle. Un droit de reprise prĂ©fĂ©rentiel du fonds de commerce Les articles et du Code de Commerce mettent Ă  la charge de l’employeur cĂ©dant une information des salariĂ©s prĂ©alablement Ă  la cession. L’ensemble des salariĂ©s attachĂ©s au fond doit ĂȘtre informĂ© du projet de cession de fonds de commerce, Ă  l’exception des cas de succession ou de procĂ©dure collective, au plus tard deux mois avant la date de cession. Cette obligation d’information peut ĂȘtre satisfaite par tous moyens mail, lettre recommandĂ©e avec AR, remise en main propre, etc dans la mesure oĂč l’employeur est en capacitĂ© de prouver sa date de rĂ©ception par le salariĂ©. Une fois informĂ©s, les salariĂ©s auront l’opportunitĂ© de formuler une offre d’achat du fonds de commerce, ou de renoncer explicitement Ă  l’acquisition du fonds de commerce. Il est important de prĂ©ciser que le dĂ©faut d’information des salariĂ©s est sanctionnĂ© par une amende civile de 2% au plus, du prix de vente du fonds de commerce. Que vous soyez cĂ©dant, cessionnaire, ou salariĂ©, il est important de connaĂźtre vos obligations et vos droits, et de respecter les rĂšgles lĂ©gales pour Ă©viter tout conflit postĂ©rieur. La consultation d’un avocat aguerri aux cessions de fonds de commerce et contentieux commerciaux vous permettra de mener ces opĂ©rations de façon sereine et sans risque. Pour toute interrogation, le Cabinet de MaĂźtre LĂ©a DOUKHAN, avocat en droit commercial Ă  Paris, se tient Ă  votre disposition. SOMMAIRE RĂ©siliation du bail commercial que fait le liquidateur judiciaire ? La rĂ©siliation du contrat en cours pour des dettes antĂ©rieures La rĂ©siliation du contrat en cours pour des dettes postĂ©rieures Vous ĂȘtes propriĂ©taire d’un local commercial mais le locataire, titulaire du bail commercial, est placĂ© en liquidation judiciaire. Vous souhaitez annuler le contrat et rĂ©cupĂ©rer les loyers impayĂ©s ainsi que votre local ? Avocats Picovschi, compĂ©tent en droit des entreprises en difficultĂ©, vous explique le sort du bail commercial dans une telle procĂ©dure et vous aide Ă  rĂ©cupĂ©rer votre dĂ». RĂ©siliation du bail commercial que fait le liquidateur judiciaire ? Votre locataire connait des difficultĂ©s financiĂšres insurmontables et le redressement n’est plus possible. Son entreprise se trouve alors en Ă©tat de cessation des paiements et fera l’objet d’une liquidation judiciaire. L’avenir vous inquiĂšte et vous vous demandez quel sera le devenir du bail commercial et si vous pouvez rĂ©cupĂ©rer votre local ? DĂšs que la liquidation judiciaire est ouverte, le juge doit nommer un liquidateur qui va devenir votre nouvel interlocuteur. Si l’ouverture d’une liquidation judiciaire n’entraine pas la rĂ©siliation automatique du bail commercial, le liquidateur a lui le pouvoir de se prononcer sur le contrat de bail. Le liquidateur peut choisir de maintenir le bail. Le bailleur ne pourra ni s’y opposer, ni demander la rĂ©siliation de plein droit. Cependant, il ne sera pas lĂ©sĂ© de cette situation puisque le rĂšglement des loyers est effectuĂ© au comptant chaque mois. Le recours Ă  un avocat est nĂ©cessaire en cas de dĂ©faut de paiement puisque le liquidateur engage sa responsabilitĂ©. En effet, lorsque le liquidateur judiciaire dĂ©cide de poursuivre le contrat de bail, il doit s'assurer qu'il disposera des fonds suffisants pour vous payer les loyers et charges Ă  Ă©chĂ©ance. Le liquidateur judiciaire peut Ă©galement dĂ©cider de mettre fin au bail commercial, dans ce cas il avertit le bailleur et la rĂ©siliation prend en principe effet au jour oĂč le bailleur en est informĂ© article L641-12 du Code de commerce. Il convient alors de prĂ©ciser qu’en tant que bailleur vous pouvez Ă©galement, dans certains cas, demander la rĂ©siliation du bail commercial. Votre avocat vous accompagnera dans toutes les dĂ©marches affĂ©rentes Ă  ce type de procĂ©dure qui est strictement encadrĂ© par le lĂ©gislateur. La rĂ©siliation du contrat en cours pour des dettes antĂ©rieures Au terme de l’article L 145-45 du Code de commerce, l’ouverture d’une liquidation judiciaire pour le titulaire d’un bail commercial n’entraĂźne pas automatiquement la rĂ©siliation de ce contrat. En effet, le lĂ©gislateur autorise seulement la rĂ©siliation dans des cas spĂ©cifiques. De plus, certaines formalitĂ©s sont exigĂ©es afin d’éviter que le propriĂ©taire du local commercial ne soit lĂ©sĂ© dans ses droits. En tant que bailleur, vous vous avez donc tout intĂ©rĂȘt de vous faire assister par un avocat en droit des entreprise en difficultĂ©. En principe le propriĂ©taire d’un local commercial n’a pas de libertĂ© sur le sort du bail quant Ă  sa continuitĂ© ou son arrĂȘt. L’article L641-12 du Code de commerce permet cependant au bailleur de demander la rĂ©siliation judiciaire ou de faire constater la rĂ©siliation de plein droit pour des causes antĂ©rieures au jugement de liquidation judiciaire ou, lorsque ce dernier a Ă©tĂ© prononcĂ© aprĂšs une procĂ©dure de sauvegarde ou de redressement judiciaire ». Attention, il faudra toutefois veiller au respect des dĂ©lais ! Une telle action ne peut ĂȘtre intentĂ©e que dans un dĂ©lai de trois mois Ă  compter de la publication du jugement d’ouverture de la procĂ©dure de liquidation judiciaire. Il est donc important de contacter un avocat compĂ©tent en la matiĂšre rapidement afin de constituer votre dossier et de ne pas laisser passer les dĂ©lais vous permettant de sortir de cette situation problĂ©matique. PassĂ© ce dĂ©lai de trois mois, vous ne pourrez plus demander la rĂ©siliation du bail. Il convient en outre de prĂ©ciser que cette rĂ©siliation est strictement encadrĂ©e par le lĂ©gislateur et la jurisprudence puisqu’elle concerne uniquement les causes antĂ©rieures au jugement d’ouverture. Ainsi, dans un arrĂȘt du 28 mai 2002, la Cour de cassation a considĂ©rĂ© que les causes antĂ©rieures au jugement de liquidation judiciaire 
 ne peuvent concerner que des obligations autres que le paiement d'une somme d'argent » 28 mai 2002 n°98-14259. Un bailleur pourrait par exemple demander la rĂ©siliation de plein droit de son bail commercial pour inexĂ©cution des rĂ©parations locatives, des dĂ©clarations au RCS ou pour dĂ©gradations des lieux. Si vous avez connaissance de difficultĂ©s financiĂšres de votre locataire, contactez un avocat ! Il pourra vous aider Ă  y voir plus clair et Ă  anticiper l’avenir. La rĂ©siliation du contrat en cours pour des dettes postĂ©rieures Les rĂšgles sont diffĂ©rentes dĂšs lors qu’il s’agit des dettes postĂ©rieures au jugement d’ouverture. Dans ce cas, le bailleur a une marge de manƓuvre plus large pour la rĂ©siliation du bail commercial, bien qu’il ne puisse dĂ©cider seul de sa continuitĂ© ou de son arrĂȘt. En effet, le bailleur peut demander la rĂ©siliation du bail en cas d’inexĂ©cution de certaines obligations contractuelles. L’article L641-12 du Code de commerce ouvre la possibilitĂ© au bailleur de demander la rĂ©siliation judiciaire ou faire constater la rĂ©siliation de plein droit du bail pour dĂ©faut de paiement des loyers et charges affĂ©rents Ă  une occupation postĂ©rieure au jugement de liquidation judiciaire ». Une telle demande ne pourra en revanche intervenir avant un dĂ©lai de trois mois qui commence Ă  courir le jour du jugement d’ouverture. Pour rĂ©sumĂ©, le bailleur ne peut rĂ©cupĂ©rer son local commercial si son locataire est en liquidation judiciaire sauf si certaines obligations contractuelles ne sont pas respectĂ©es. Ne restez pas dans l’incertitude quant au sort du bail commercial ! Le recours Ă  un avocat compĂ©tent en matiĂšre d’entreprises en difficultĂ© est nĂ©cessaire pour mettre fin Ă  cette situation. Avocats Picovschi, compĂ©tent en droit des entreprises en difficultĂ©, vous aide non seulement Ă  y voir plus clair, mais Ă©galement Ă  demander la rĂ©siliation du bail et le paiement des loyers impayĂ©s. Lorsque survient un redressement judiciaire ou une liquidation judiciaire, se pose la question de la survie du fonds de commerce et par voie de consĂ©quence indiscutablement celle du sort du bail commercial aussi bien pour le bailleur que pour le locataire. Le bail commercial constitue en effet un Ă©lĂ©ment essentiel du fonds de commerce. Son importance est d’ailleurs justifiĂ©e par le statut protecteur que la loi lui confĂšre. La loi prĂ©voit que l’ouverture d’un redressement judiciaire ou d’une liquidation judiciaire n’entraĂźne pas de plein droit la rĂ©siliation du bail affectĂ© Ă  l’activitĂ© de l’entreprise, mĂȘme en prĂ©sence d’une clause figurant dans le contrat. Toutefois, le sort de ce bail commercial va dĂ©pendre en grande partie de l’attitude des organes de la procĂ©dure collective. Quelle est la situation du bailleur, du locataire, de l’administrateur judiciaire en cas de procĂ©dure de sauvegarde ou de redressement ou du liquidateur judiciaire en cas de liquidation judiciaire ? I- La situation du bailleur face au dĂ©pĂŽt de bilan de son locataire 1- L’effet du jugement d’ouverture et son articulation avec les instances en cours Le jugement ouvrant la procĂ©dure de redressement judiciaire emporte, de plein droit, interdiction de payer toute crĂ©ance nĂ©e antĂ©rieurement au jugement d’ouverture, Ă  l’exception du paiement par compensation de crĂ©ances connexes. Le bailleur se retrouve donc dans la catĂ©gorie des crĂ©anciers. En effet, l’article L622-21 du Code de commerce prĂ©cise que jugement d’ouverture interrompt ou interdit toute action en justice de la part de tous les crĂ©anciers dont la crĂ©ance n’est pas mentionnĂ©e au I de l’article L. 622-17 et tendant 1° A la condamnation du dĂ©biteur au paiement d’une somme d’argent ; 2° A la rĂ©solution d’un contrat pour dĂ©faut de paiement d’une somme d’argent. arrĂȘte ou interdit Ă©galement toute procĂ©dure d’exĂ©cution de la part de ces crĂ©anciers tant sur les meubles que sur les immeubles ainsi que toute procĂ©dure de distribution n’ayant pas produit un effet attributif avant le jugement d’ouverture. dĂ©lais impartis Ă  peine de dĂ©chĂ©ance ou de rĂ©solution des droits sont en consĂ©quence interrompus. » 2- Une obligation de dĂ©clarer sa crĂ©ance dans un dĂ©lai de deux mois Comme tout crĂ©ancier d’un dĂ©biteur en procĂ©dure collective, le bailleur d’un bail commercial dispose d’un dĂ©lai de deux mois Ă  compter de la publication du jugement d’ouverture au BODACC Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales pour dĂ©clarer sa crĂ©ance auprĂšs du mandataire judiciaire articles L 622-24 et R 622-24 du Code de commerce. Le bailleur ne doit dĂ©clarer que les sommes affĂ©rentes Ă  une occupation antĂ©rieure. En effet, la loi prĂ©voit que les crĂ©ances nĂ©es rĂ©guliĂšrement aprĂšs le jugement d’ouverture pour les besoins du dĂ©roulement de la procĂ©dure ou de la pĂ©riode d’observation, ou en contrepartie d’une prestation fournie au dĂ©biteur pendant cette pĂ©riode, sont payĂ©es Ă  leur Ă©chĂ©ance. Pour l’occupation postĂ©rieure, il en demande le paiement directement Ă  l’administrateur judiciaire article L 622-17 du Code de commerce. 3- Une crĂ©ance privilĂ©giĂ©e L’article L622-16 du Code de commerce prĂ©cise qu’ En cas de procĂ©dure de sauvegarde, le bailleur n’a privilĂšge que pour les deux derniĂšres annĂ©es de loyers avant le jugement d’ouverture de la procĂ©dure. Si le bail est rĂ©siliĂ©, le bailleur a, en outre, privilĂšge pour l’annĂ©e courante, pour tout ce qui concerne l’exĂ©cution du bail et pour les dommages et intĂ©rĂȘts qui pourront lui ĂȘtre allouĂ©s par les tribunaux. » Le bailleur doit donc mentionner au moment de sa dĂ©claration de crĂ©ance, l’existence de ce privilĂšge; Ă  dĂ©faut de quoi sa crĂ©ance sera ramenĂ©e au rang d’une crĂ©ance chirographaire. 4- Les instances en cours Comme soulignĂ© plus haut, le jugement d’ouverture interrompt toutes les instances en cours, que celles-ci tendent au paiement d’une somme d’argent ou Ă  la constatation d’une violation d’une obligation de faire ou de ne pas faire. Les instances en cours au moment de l’ouverture de la procĂ©dure collective sont interrompues jusqu’à la dĂ©claration de crĂ©ance. Le bailleur doit nĂ©cessairement reprendre l’instance en mettant en cause les organes de la procĂ©dure, Ă  savoir le mandataire judiciaire et l’administrateur judiciaire, dans le but unique de constater la crĂ©ance et de la fixer article L622-22 du Code de commerce. Ainsi, lorsque l’instance en cours tend au paiement d’une somme d’argent, la reprise de l’instance n’aura que pour objet d’établir la rĂ©alitĂ© de la crĂ©ance et d’en fixer le montant, mais ne pourra, en aucun cas, conduire, s’agissant d’une crĂ©ance antĂ©rieure au jugement d’ouverture, Ă  condamner le dĂ©biteur en procĂ©dure collective Ă  rĂ©gler celle-ci art. L 622-22 du Code de commerce. Pour ce qui est des obligations non pĂ©cuniaires, le droit des procĂ©dures collectives n’interdit pas de mener une action, notamment en constatation d’acquisition de la clause rĂ©solutoire lorsque les manquements relevĂ©s par le bailleur sont antĂ©rieurs Ă  la procĂ©dure collective article L 622-23 du Code de commerce. II- Le rĂ©gime de la continuation du bail commercial 1- Le principe de la continuation du bail Comme soulignĂ© plus haut, le principe en la matiĂšre est la continuation du bail. ConformĂ©ment aux dispositions du code de commerce, seuls les baux en cours d’exĂ©cution au jour de l’ouverture de la procĂ©dure peuvent ĂȘtre poursuivis. Par ailleurs, la liquidation judiciaire n’entraĂźne pas de plein droit la rĂ©siliation du bail des immeubles affectĂ©s Ă  l’activitĂ© de l’entreprise article L641-12 du Code de commerce. L’article L622-13 du Code de commerce prĂ©voit que l’administrateur a seul la facultĂ© d’exiger l’exĂ©cution des contrats en cours en fournissant la prestation promise au cocontractant du dĂ©biteur. Au vu des documents prĂ©visionnels dont il dispose, l’administrateur s’assure, au moment oĂč il demande l’exĂ©cution du contrat, qu’il disposera des fonds nĂ©cessaires pour assurer le paiement en rĂ©sultant. Par ailleurs, l’administrateur peut y mettre fin s’il lui apparaĂźt qu’il ne disposera pas des fonds nĂ©cessaires pour remplir les obligations du terme suivant. En cas de liquidation judiciaire, c’est au liquidateur qu’incombe cette dĂ©cision. Ainsi, lorsque l’administrateur ou le liquidateur prend la dĂ©cision de poursuivre le bail, il doit rĂ©gler au bailleur toute somme rĂ©sultant de son exĂ©cution. 2- Les effets du jugement d’ouverture sur les procĂ©dures en cours Le bail commercial ne peut ĂȘtre rĂ©siliĂ© du seul fait de la procĂ©dure collective. En effet, l’article L145-45 du Code de commerce dispose que toute clause d’un bail commercial qui prĂ©voit la rĂ©siliation de plein droit en cas de procĂ©dure collective est rĂ©putĂ©e non Ă©crite. Le cas des instances en cours et des dĂ©cisions non dĂ©finitives Lorsqu’à la date du jugement d’ouverture d’une procĂ©dure collective, aucune dĂ©cision de justice n’a encore constatĂ© l’acquisition de la clause rĂ©solutoire, les effets du commandement de payer sont suspendus par l’ouverture de la procĂ©dure collective. Une dĂ©cision frappĂ©e d’appel n’est pas dĂ©finitive Ainsi, la Cour de cassation a cassĂ© un arrĂȘt de la Cour d’appel qui avait relevĂ© que la suspension des poursuites individuelles intervenue pendant la procĂ©dure d’appel en raison de l’admission d’une sociĂ©tĂ© au bĂ©nĂ©fice du redressement judiciaire ne fait pas obstacle Ă  la constatation de l’acquisition de la clause rĂ©solutoire qui a produit tous ses effets antĂ©rieurement au jugement d’ouverture. Cette dĂ©cision est cassĂ©e par la Cour de cassation, qui a relevĂ© que la Cour d’appel avait violĂ© les dispositions des articles L145-41 et L622-40 du Code de commerce. L’acquisition de la clause rĂ©solutoire pour dĂ©faut de paiement de loyers antĂ©rieurs Ă  ce jugement n’avait encore Ă©tĂ© constatĂ©e par aucune dĂ©cision de justice passĂ©e en force de chose jugĂ©e de sorte que les effets du commandement de payer se trouvaient suspendus par l’ouverture de la procĂ©dure collective Cass. 3Ăšme civ. 27 juin 2006, n°05-14329. Une ordonnance assortie de l’exĂ©cution provisoire n’est pas dĂ©finitive Au jour du jugement d’ouverture du redressement, l’ordonnance constatant l’acquisition de la clause rĂ©solutoire Ă©tant frappĂ©e d’appel, le bailleur ne peut plus poursuivre la procĂ©dure, mĂȘme si l’ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© est exĂ©cutoire Ă  titre provisoire. Dans une autre affaire, la Cour de cassation a retenu que Mais attendu qu’ayant relevĂ© qu’au jour de l’ouverture du redressement judiciaire de la sociĂ©tĂ©, l’ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© constatant l’acquisition de la clause rĂ©solutoire Ă©tait frappĂ©e d’appel, l’arrĂȘt retient exactement qu’à cette date, l’acquisition de la clause rĂ©solutoire, pour dĂ©faut de paiement des loyers antĂ©rieurs Ă  l’ouverture de la procĂ©dure soumise aux dispositions de la loi du 26 juillet 2005 de sauvegarde des entreprises, n’avait pas encore Ă©tĂ© constatĂ©e par une dĂ©cision passĂ©e en force de chose jugĂ©e, de sorte que le bailleur ne peut plus poursuivre l’action antĂ©rieurement engagĂ©e, peu important Ă  cet effet que l’ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© soit exĂ©cutoire Ă  titre provisoire ». Cass. com 28 oct. 2008, n°07-662. Toutefois, en sens inverse, la Cour de cassation a jugĂ© que l’ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© rendue avant l’ouverture d’une procĂ©dure de conciliation et accordant au locataire un dĂ©lai de paiement et la suspension pendant ce dĂ©lai des effets de la clause rĂ©solutoire, continue de produire effet postĂ©rieurement Ă  l’ouverture de cette procĂ©dure. L’ordonnance de rĂ©fĂ©rĂ© Ă©tant passĂ©e en force de chose jugĂ©e Cass. 3e civ., 10 dĂ©c. 2008, n° 07-19899. La procĂ©dure de conciliation n’entraĂźne pas en effet suspension des poursuites individuelles. III- La rĂ©siliation Ă  l’initiative du bailleur dans certaines conditions Le bailleur peut dans certaines conditions dĂ©cider de rĂ©silier le bail. 1- En cas de procĂ©dure de sauvegarde ou de redressement judiciaire Deux situations doivent ĂȘtre analysĂ©es – La mise en Ɠuvre de la clause rĂ©solutoire pour dĂ©faut de paiement des loyers postĂ©rieurs au jugement d’ouverture. Le bailleur a la possibilitĂ© de demander ou faire constater la rĂ©siliation du bail pour dĂ©faut de paiement des loyers et charges affĂ©rents Ă  une occupation postĂ©rieure au jugement d’ouverture, mais seulement au terme d’un dĂ©lai de trois mois article L622- 14 2°. Il convient de souligner que cet article doit ĂȘtre combinĂ© avec l’article L145-41 du Code de commerce qui prĂ©voit que la mise en Ɠuvre de la clause rĂ©solutoire nĂ©cessite la dĂ©livrance prĂ©alable d’un commandement de payer. – Les autres manquements les actions en rĂ©siliation fondĂ©es sur une obligation de faire peuvent ĂȘtre engagĂ©es par le bailleur. 2- En cas de procĂ©dure de liquidation judiciaire La rĂ©siliation du bail commercial intervient dans les conditions suivantes AprĂšs l’ouverture de la procĂ©dure, si le bail se poursuit et si le locataire ne paye pas ses loyers ou ses charges, le bailleur peut exiger la rĂ©siliation du bail. Il est Ă  signaler que le bailleur ne peut toutefois agir en justice qu’au bout de 3 mois aprĂšs l’ouverture de la procĂ©dure collective. Le bailleur a la possibilitĂ© de demander la rĂ©siliation du bail, pour des motifs antĂ©rieurs au jugement d’ouverture de la procĂ©dure, mais autres que le non-paiement des loyers et des charges par exemple un dĂ©faut d’entretien des lieux louĂ©s. Il doit agir en justice dans les 3 mois du jugement de liquidation judiciaire. IV- La rĂ©siliation Ă  l’initiative des organes de la procĂ©dure collective Le bail peut ĂȘtre rĂ©siliĂ© Ă  l’initiative de l’administrateur ou du liquidateur, par rupture anticipĂ©e, Ă  tout moment aprĂšs l’ouverture de la procĂ©dure collective article L622-14 du Code de commerce et L641-12 du Code commerce. V- La cession du bail en cas de liquidation judiciaire La cession du bail commercial peut intervenir soit de maniĂšre isolĂ©e en cas de liquidation judiciaire, le liquidateur peut cĂ©der le bail indĂ©pendamment du reste de l’entreprise, soit dans le cadre de la cession totale ou partielle de l’entreprise du locataire. Si l’administrateur dĂ©cide de cĂ©der le fonds de commerce du locataire, bail commercial compris, l’agrĂ©ment de l’acquĂ©reur par le bailleur ne sera pas nĂ©cessaire, mĂȘme si le bail contient une telle clause. Le repreneur doit exĂ©cuter le bail commercial aux conditions applicables au jour du jugement d’ouverture. Depuis la loi Pinel, le tribunal peut autoriser le repreneur Ă  ajouter Ă  l’activitĂ© prĂ©vue au contrat des activitĂ©s connexes ou complĂ©mentaires. Partager la publication "Le sort du bail commercial en cas de dĂ©pĂŽt de bilan" Facebook Twitter 30 MAI 2016 Reprendre le fonds de commerce d’une entreprise en situation de liquidation judiciaire est une transaction dĂ©licate. L’opĂ©ration est certes risquĂ©e, mais peut ĂȘtre intĂ©ressante pour un repreneur habile. En effet, pour racheter une entreprise en liquidation, certaines dĂ©marches sont importantes Ă  mener. Quelles sont les formules permettant de reprendre un fonds de commerce en liquidation ? Comment rĂ©ussir ce pari ? ÉlĂ©ments de rĂ©ponse
 Comment repĂ©rer une entreprise en liquidation judiciaire ? Le code de commerce impose, pour toute procĂ©dure de liquidation judiciaire, l’observation prĂ©alable d’une formalitĂ© de publicitĂ©. DĂšs lors, pour trouver une entreprise en liquidation judiciaire, il suffit de consulter les plateformes spĂ©cialisĂ©es ou encore de s’abonner aux journaux papier d’annonces lĂ©gales. Lorsque l’information d’un projet de cession parvient Ă  un candidat repreneur et qu’il souhaite racheter une entreprise en liquidation, il devra se rapprocher de l’administrateur judiciaire en charge de la cession pour plus d’informations. Dans ce cadre, il sera astreint Ă  la signature d’un engagement de confidentialitĂ© permettant de garantir la sĂ©curitĂ© du projet et de protĂ©ger l’image de l’entreprise. La signature de cet engagement lui permet d’accĂ©der aux informations confidentielles utiles pour comprendre la situation de l’entreprise bilans, Ă©tats financiers, inventaire du matĂ©riel, bail commercial, etc. Toutes ces informations sont essentielles pour permettre au candidat de fixer sa marge de prix et de circonscrire ses conditions de reprise. Comment s’effectue le dĂ©pĂŽt de l’offre de reprise ? Pour racheter une entreprise en liquidation, le candidat repreneur peut dĂ©poser son offre Ă  tout moment, dĂšs l’ouverture de la procĂ©dure de redressement au tribunal, et en l’absence mĂȘme de toute dĂ©cision du juge. L’offre peut tendre au maintien des activitĂ©s de l’entreprise par sa cession totale ou partielle. Cependant, elle ne peut ĂȘtre prise en compte que lorsque le tribunal aura dĂ©finitivement rejetĂ© la demande de redressement judiciaire de l’entreprise. En effet, en redressement judiciaire, l’entreprise peut encore ĂȘtre sauvĂ©e. Ainsi, lorsque le juge accĂšde Ă  la demande de redressement, la liquidation devient impossible et les offres deviennent caduques. Pour racheter une entreprise en liquidation, l’offre du repreneur doit comporter la dĂ©signation exacte des biens visĂ©s, des contrats et droits inclus, des activitĂ©s prĂ©vues, du prix proposĂ© et de ses modalitĂ©s de rĂšglement, des garanties souscrites pour s’assurer de ses engagements, etc. Les propositions du repreneur doivent ĂȘtre dĂ©posĂ©es dans le dĂ©lai fixĂ© par l’administrateur Ă  cet effet. Dans des cas exceptionnels, il peut cependant ĂȘtre admis que l’offre soit dĂ©posĂ©e dans le dĂ©lai de 15 jours avant la date d’audience. Une fois qu’elle est dĂ©posĂ©e, elle ne peut plus ĂȘtre retirĂ©e. Quelles sont les suites du dĂ©pĂŽt de l’offre de reprise ? L’autorisation de racheter une entreprise en liquidation s’attribue par le tribunal et non par l’administrateur judiciaire. De façon concrĂšte, c’est suite Ă  une audience en chambre du conseil que le tribunal dĂ©cidera du plan de cession de l’entreprise. Lors de l’audience, les diffĂ©rentes parties intĂ©ressĂ©es sont Ă©coutĂ©es, notamment l’administrateur judiciaire ;le reprĂ©sentant des salariĂ©s ;les dĂ©biteurs ;le mandataire judiciaire reprĂ©sentant les intĂ©rĂȘts des crĂ©anciers ;le Procureur de la RĂ©publique qui fait ses rĂ©quisitions ;et Ă©ventuellement les diffĂ©rents candidats repreneurs. Il est donc conseillĂ© au candidat d’ĂȘtre prĂ©sent Ă  l’audience. C’est une bonne occasion de comprendre tous les aspects liĂ©s au dossier. Racheter une entreprise en liquidation, c’est avoir une idĂ©e des prĂ©tentions des dĂ©biteurs, pour Ă©ventuellement rĂ©ajuster son offre. Une fois les parties entendues, les offres dĂ©pouillĂ©es et les dĂ©bats clĂŽturĂ©s, le tribunal ayant rejetĂ© le redressement judiciaire, rend un jugement qui arrĂȘte le plan de cession sur l’offre la plus intĂ©ressante. Post Views 2 904 VOUS SOUHAITEZ FORMULER UNE PROPOSITION D’ACQUISITION POUR UN ACTIF D’UNE ENTREPRISE EN LIQUIDATION JUDICIAIRE Mode de rĂ©alisation des actifs dĂ©pendant des entreprises en difficultĂ©s 1 Cession d'entreprise Habituellement dĂ©signĂ© sous le nom de plan de cession, il s'agit ici d'un mode de rĂ©alisation consistant Ă  cĂ©der l'entreprise au cours d'une poursuite d'activitĂ© autorisĂ©e par le Tribunal redressement ou liquidation judiciaire. 2 La cession d'un actif isolĂ© en liquidation judiciaire En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, les actifs Ă  rĂ©aliser dans le cadre des procĂ©dures de liquidation judiciaire sont vendus aux enchĂšres publiques par le ministĂšre d'un commissaire priseur ou d'un huissier de justice. Ils peuvent toutefois ĂȘtre vendus de grĂ© Ă  grĂ© par le liquidateur sur autorisation du Juge commissaire Ă  la procĂ©dure lorsqu'une offre intĂ©ressante est prĂ©sentĂ©e au liquidateur. Si vous souhaitez effectuer une proposition d'achat de grĂ© Ă  grĂ© d'un actif, nous vous invitons Ă  consulter rĂ©guliĂšrement la rubrique "ACTIF" de notre site internet quotidiennement mis Ă  jour, sur lequel figure l'ensemble des biens Ă  vendre. Nature des actifs Ă  vendre Actifs corporels immeubles et biens meubles matĂ©riel de restauration, bĂątiment, industriel, vĂ©hicules... Actifs incorporels marques, brevets, fichiers clients, fonds de commerce, droit au bail... Qui peut se porter acquĂ©reur ? Tout tiers Ă  la procĂ©dure peut formuler une proposition d'achat. Toutefois, en vertu des articles et du Code de commerce, Ni le dĂ©biteur, ni les dirigeants de droit ou de fait de la personne morale, ni les parents ou alliĂ©s jusqu’au 2Ăšme degrĂ© inclusivement de ces dirigeants ou du dĂ©biteur personne physique, ni les personnes ayant ou ayant eu la qualitĂ© de contrĂŽleur au cours de la procĂ©dure, ne peuvent acquĂ©rir directement ou par personne interposĂ©e des actifs d’une sociĂ©tĂ© faisant l’objet d’une procĂ©dure collective ». Exception dans le cas d’une exploitation agricole, seuls les contrĂŽleurs ne peuvent pas se porter acquĂ©reurs. A quelle stade de la procĂ©dure une offre peut elle ĂȘtre formulĂ©e ? DĂšs l'ouverture de la procĂ©dure, les tiers sont habilitĂ©s Ă  Ă©mettre une proposition d'achat, laquelle peut aussi ĂȘtre formulĂ©e Ă  tout moment de la procĂ©dure. Dans de nombreux cas cependant, la commercialisation d'un bien sera effectuĂ©e AuprĂšs de qui ? Dans le cadre d'un redressement judiciaire dĂ©signation d'un administrateur judiciaire, c'est ce dernier qui mĂšne la procĂ©dure de cession et qui sera en mesure de vous renseigner. Dans le cadre d'une cession d'actif isolĂ© en liquidation judiciaire, la proposition doit ĂȘtre adressĂ©e au liquidateur. Conditions de recevabilitĂ© de l'offre L’offre doit ĂȘtre Ă©crite, prĂ©cise pĂ©rimĂštre de la reprise dĂ©terminĂ©, et chiffrĂ©e, ferme sans condition suspensive, et financĂ©e. Dans le cadre de la cession d'une universalitĂ© de biens fonds de commerce, il convient de ventiler le prix offert en fonction du montant offert pour les actifs incorporels, corporels et les stocks le cas Ă©chĂ©ant. Elle doit ĂȘtre accompagnĂ©e d’un chĂšque de banque pour le montant total de l’offre ou de 10% de son montant si l'offre est supĂ©rieure Ă  € cette consignation de fonds peut aussi ĂȘtre effectuĂ©e par virement sur notre compte Caisse des DĂ©pĂŽts et Consignations. d’une dĂ©claration d’indĂ©pendance et de sincĂ©ritĂ© du prix voir modĂšle Il convient de prĂ©voir le remboursement du dĂ©pĂŽt de garantie acquisition de fonds de commerce ou de droit au bail et le rĂšglement des honoraires du rĂ©dacteur d’actes. Documents Ă  tĂ©lĂ©charger Trame offre sur fonds de commerce - TĂ©lĂ©charger Trame offre sur bien mobilier divers - TĂ©lĂ©charger Cahier des charges de l'offre - TĂ©lĂ©charger ModĂšles attestation d'indĂ©pendance et d'origine des fonds - TĂ©lĂ©charger

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